De plus en plus de français semblent tentés par les médecines parallèles. Elles se développent en complément ou en alternative à la médecine classique et seraient utilisées par 30 à 60 % de la population française. Selon les pays et leurs traditions, elles sont répandues comme en Allemagne ou en Angleterre, elles peuvent être tolérées comme en France ou bien tout simplement interdites comme dans certains pays.
Quand vous allez chez un médecin classique, que vous patientez une heure dans la salle d’attente et que vous repartez cinq minutes après le début de la séance avec des médicaments qui ont été prescrits à trente personnes dans la journée, il est vrai que l’on peut se poser des questions, surtout connaissant l’influence des grands groupes pharmaceutiques. Tristement, la France reste à ce jour le plus grand consommateur de médicaments au monde.
Depuis quelques années, les français sont de plus en plus nombreux à pointer un doigt accusateur sur la médecine officielle, qui certes ne cesse d’être de plus en plus technique ( des opérations sophistiquées comme les imageries médicales en 3D pour exemple ) mais hélas, standardisée, négligeant les maux des patients.
Combien d’entre nous avons du patienter des mois et des mois avant d’obtenir un rendez-vous chez un ophtalmologue, un dentiste, un gynécologue ? Et encore, ceux qui obtiennent un rendez-vous peuvent se considérer chanceux, certains cabinets refusent même les nouveaux patients. Tant pis pour vous si vous avez changé de ville. Une certitude à l’heure actuelle, les français veulent être mieux soignés avec davantage de proximité.
Si la médecine classique semblait avoir triomphé, la France amorce un grand tournant. Les consommateurs de santé veulent être traités avec « soin », respectés, écoutés. 20 % d’entre nous auraient recours aux médecines parallèles une fois par mois et 60 % y feraient appel au moins une fois dans l’année.
Dans la médecine non conventionnelle, une grande variété de méthodes existe comme l’acupuncture, l’homéopathie, l’ostéopathie, l’hypnose ou bien encore la réflexologie. L’homéopathie pour exemple prend en compte qui vous êtes. Les homéopathes partent du principe que votre maladie ne sera pas la même que celle du voisin et un traitement de fond est généralement adressé.
Si en France, on part du principe que plus un médecin a de patients, plus il est reconnu, il en est tout autre en Chine.
Le concept chinois est assez intéressant à connaitre. « Il vaut mieux prévenir que guérir » est le dicton des lieux. Le médecin chinois n’est payé que pour les consultations de prévention. Il vous donnera tous les produits nécessaires, pratiquera sur vous tout son savoir faire afin que vous ne tombiez pas malade. Si tel était le cas, il serait obligé de se redéplacer mais sans être payé cette fois-ci. De plus, un médecin qui a trop de malades a très vite la réputation d’être un mauvais médecin en Chine. A quand ce principe en France ?
Dans ce paysage, la médecine allopathique prend la mesure de ses incertitudes, de ses doutes, réalise qu’elle ne possède pas toutes les réponses.
Mais aujourd’hui, et c’est un début, la cohabitation entre médecines ennemies amorce une certaine réconciliation. Prenez l’exemple de l’hypnose. Si certains hôpitaux cachaient il y a encore 5 ans leurs différentes manières de faire, des services de la douleur officialisent à présent leurs travaux et leurs prises en charge ( même si certains patrons regardent encore d’un mauvais œil ce genre d’intervention ). Avantage de ce rapprochement ? La possibilité de valider l’efficacité de ces différentes médecines par des études fiables.
Nous avons testé les massages énergisants de Françoise Orieux ( voir vidéo ). Une chose est sure, nous en sommes ressortis décontractés au possible.
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