Film de science fiction réalisé par David Twohy avec Vin Diesel, Karl Urban, Katte Sackoff.
Attention, film interdit au moins de 12 ans
Si « Pitch Black » avait très bien marché au box office (53 millions de dollars de recettes dans le monde pour un budget de 23 millions), l’opus suivant, « Les chroniques de Riddick » n’a pas été un succès : les recettes mondiales du film ont culminé à 115 millions alors que le budget avoisinait les 105 millions.
« Riddick », le troisième film, a été produit pour 38 millions de dollars, donc beaucoup moins que pour le précédent volet.
Presque 10 ans que les fans attendaient le retour de Riddick.
« Les chroniques de Riddick » ont été réalisées en 2004. C’est le premier volet d’une trilogie basée sur le personnage de Riddick.
« Pitch Black », quant à lui, a été réalisé en 2000 et apparait dès lors comme une aventure dérivée du antihéros. « Les Chroniques de Riddick » et ses futures suites seront ainsi à « Pitch Black » ce que « Le seigneur des anneaux » est à « Bilbo le Hobbit ».
Résumé :
Riddick a été laissé pour mort sur une planète brûlée qui semble exempte de toute vie.
Pourtant, il se retrouve rapidement obligé de lutter pour sa survie contre des prédateurs aliens plus mortels que tous les humains qu’il a affrontés au cours de sa vie.
Il trouve un refuge précaire dans une ancienne gare de transit interstellaire désaffectée. La seule façon pour lui de s’en tirer est d’activer une balise d’urgence et d’alerter les mercenaires et autres chasseurs de primes qui se ruent vers la planète à la recherche de leur proie.
Notre avis :
Voilà que comme tous ceux qui veulent se frotter à faire un énième épisode ce sera encore une fois le film de trop. Pourtant tout paraissait alléchant en visionnant la bande annonce, en apportant encore une pierre à l’édifice des compétences de Twohy.
Mais ce film nous montre soit ses limites soit une vampirisation enfantine d’une réussite ou le génie a disparu sous une ambition qui fait perdre la raison.
L’ensemble du film se passe sur la même planète, avec 10 acteurs au maximum.
On ne retrouve pas l’inventivité, ni les rebondissements du premier qui tenait sa force dans son scénario.
Basé sur une histoire probablement écrite sur un post-it. Dommage …
07/20